Toutes les nations reposent sur de grands nombres d’hommes qui s’organisent pour former des nations. Pour comprendre le fonctionnement des organisations qui en résultent, il est évidemment nécessaire de connaître les règles auxquelles elles obéissent, mais cela est très loin de suffire, car les sociétés sont animées par une multitude d’êtres animés par des sentiments, des motivations et des comportements très variés, trop mal connues, trop peu étudiées, qui, en utilisant les règles sociales en cours s, conduisent l’ensemble de chaque société à un certain état, tantôt stable, tantôt instable, appelé à évoluer dans un sens difficile à prévoir.
Malheureusement, de leur côté, depuis le XVIIIe siècle, les analystes (notamment les constitutionnalistes) sont tentés d’étudier la réalité extérieure à eux-mêmes et, de négliger les recherches sur l’homme http://franceeuropemonde/.com/jean-rostand-et-lagrenouille , et, lorsque, dans le passé, ils s’y sont intéressés, leur inspiration – souvent influencée par des doctrines contestables – s’est révélée en général trop limitée (Piaget, Freud et Cie)…
Pour éviter cette erreur, avant de s’intéresser à la mécanique interne des sociétés, il faut, d’abord et avant tout, commencer à entreprendre la tâche modeste de rechercher 1. ce qui différencie les individus, 2. Et, en sens inverse ce qui leur est commun.(y compris – tâche bien plus complexe ! – leur nature.. A partir de laquelle, il sera possible de comprendre l’homme, 1. d’abord pour l’intérêt de chacun, 2 ensuite, du point de vue de son comportement dans la société (avec les effets en résultent pour elle…).
Cette position m’amène à proposer les pages suivantes :
- les sentiments des personnes,
- leurs réactions face à leurs sentiments,
- leurs besoins réels,
(liste qui sera complétée par un sujet voisin, celui des diverses positions dans la société).
pages que l’on trouvera (provisoirement sous clé)… en choisissant les noms listés dans le menu déroulant ouvert par un deuxième clic sur l’onglet de cette page).