Réflexion sur une coïncidence
La page accueil-bis vous a fait part de deux changements http://franceeuropemonde/accueil-bis dont l’un a été décidé le 1er avril 2025. Cette tmodification d’importance essentielle m’a immédiatement inspiré quelques réflexions :
J’ai immédiatement remarqué que le 1er avril pouvait être compris comme celui des farces du poisson… mais aussi comme le premier jour des trois quarts de l’année en cours (espérés heureux…), venant après le premier quart malheureux… et que cela pouvait symboliser l’évolution de mon long travail de réflexion en cours…
J’ai tout de suite fait un autre un rapprochement (auquel j’avais déjà pensé depuis quelque temps…) avec une considération très analogue : l’année 2025 est la première des trois quarts restants du XXIe siècle (que l’on espère heureux…) succédant à un premier quart, particulièrement malheureux…
Simple hasard ? ou symbole significatif?
Ces analogies peuvent traduire un simple hasard… ou, au contraire, constituer le symbole annonciateur d’une vérité (ou de deux vérités…).
Quelle hypothèse choisir ? Je crois qu’il faut d’abord opter pour la prudence dictée par la raison… mais sans exclure le signe possible d’un encouragement pour les prochains mois de mon travail personnel, et surtout pour celui de l’avenir des 75 années d’histoire à venir jusqu’à la fin du siècle…
Elargissement de la réflexion : l’utilisation des coïncidences
Il me semble qu’une solution raisonnable et simple consiste à ne pas se prononcer sur la vérité inconnue, mais, sans s’interroger davantage, à utiliser intelligemment l’analogie, non plus comme une vérité, mais comme un heureux encouragement psychologique. (Ne nous faisons pas avoir par le hasard, ne nous faisons pas piéger par le hasard, au contraire, utilisons le hasard comme un outil dont on a l’intelligence de s’emparer !)
Utilisation collective des symboles
L’idéal serait que cette exploitation puisse entraîner non pas quelques personnes, mais toute la population actuelle qui en a tellement besoin !
Mais l’idéal se réalisera-t-il ? Cela dépend un peu de moi…, mais surtout d’autres personnes inconnues, moins directement concernées que moi-même, et surtout pourvues d’atouts ne supportant aucune comparaison avec les touts petits présents dans mes mains ! (Quand ils ont l’as de pic, moi j’ai le 8 – lequel ? – peut-être, celui de cœur, mais pas celui de trèfle…).
Quant à vous, lecteur (bien sûr écrit au singulier), quel sera votre choix ? Il ne sera pas celui de votre intelligence ou de votre caractère, mais celui de ce que vous êtes, ou peut-être – si vous avez cette chance… – de ce que vous voulez être…).
Merci ! (si vous me répondez…). Et, peut-être, à bientôt !