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Une liste (abrégée) de fais inacceptables
Quelques-uns de fais
que nous ne devons pas accepter :
- de la part des élus et des membres de la haute administration, l’absence de déclaration publique de leur appartenance à une société secrète soumise à des conceptions non partagées par l’ensemble de la population,
- le viol de la dignité des citoyens par le pouvoir politique en place, qui s’arroge le droit de définir pour la communauté nationale quel est le sens de la vie et la morale à appliquer par la population,
- le comportement de type dictatorial des ministres de l’éducation nationale, qui profitent de leur pouvoir sur les enfants innocents (comme le font, d’une autre manière, les praticiens de la pédophilie) pour amener les enfants à penser et à se comporter d’une manière, qui, dans l’immense majorité des cas, n’est pas celle des parents (« les pauvres, eux, n’ont rien compris. Ce sont les gens du peuple, qui n’ont pas eu, comme nous, l’incomparable chance d’être initiés au sens de toutes choses par l’infime minorité qui nous a formés[et, moyennant notre fidélité à leurs consignes, nous ont fait élire…, mais chut ! ne le disons pas ! car beaucoup ne s’en doutent même pas…]. Pauvres parents méprisés, auxquels on a volé leurs enfants, qui, eux, ont eu pourtant l’immense mérite de les élever, de les connaitre et de les aimer. (Tout cela, en plus, en profitant de l’argent des contribuables. Lesquels, évidemment, ne les ont pas élus dans ce but, mais dans celui de leur apprendre à compter, à écrire et à lire (ce que, d’ailleurs, avec ses directives, toutes plus géniales les unes que les autres, l’équipe des hauts fonctionnaires pour la plupart pourtant éclairés par la gnose – se montre incapable de faire. Mais où sommes-nous ? Et que fait-on de nos enfants ? Et, surtout, nous, citoyens de tous les âges, comment pouvons-nous laisser faire ce gâchis ?
- la propagande hypocrite, distillée chaque jour par le système d’information, qui, avec ses clins d’œil entendus, adressés aux téléspectateurs, les invite à renoncer à leurs conceptions , et à s’aligner sur la majorité. Quelle majorité ? celle des hommes au pouvoir dans les deux branches alliées, celle des politiciens, et, surtout, derrière eux, celle des GFP.